État d'urgence : la confédération traîne des pieds
Une réunion du collectif porté par la LDH Nous ne cèderons pas se réunissait mercredi 17 février à Paris sur les suites de la mobilisation après le succès de la journée du 30 janvier. Ce collectif où participe la CGT refuse la présence des organisations politiques.
L'autre collectif national Stop État d'urgence proposait de faire du 12 mars, peu avant le vote au Sénat, une nouvelle journée de manifestation.
La LDH, la FSU et la CGT se montraient hostile à l'idée en prétextant le risque d'êtres moins nombreux que le 30 janvier.
Heureusement d'autres associations et syndicats ont repris l'idée d'une mobilisation et parmi elles le SNJ-CGT que nous félicitons au passage. Le collectif Nous ne cèderons pas s'est finalement décidé pour un pique-nique devant le Sénat...
Il est encore temps de construire dans l'unité la plus large une vraie mobilisation à Paris le 12 mars.